Bernard Stiegler

Publié le par rosalinde


Mea Culpa…Mea Culpa… !!! Je me suis « bêtement » moquée de Bernard Stiegler.   ( cf. plus bas - Atelier traduction – Bernard Stiegler). Précisons quand même qu’il s’agissait de son « style »que j’ai sous-entendu « obscur » !!!! ( Exagérai-je en sous-entendant cela ?  )  et non de sa « philosophie » que je ne connais pas….

Rectification nécessaire ! Vient de paraître dans le Monde Magazine du 27 novembre un interview de Bernard Stiegler, portant sur son récent ouvrage «  Ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue. De la pharmacologie » …. Lumineux !!…

 Et vraiment à nouveau… Mea Culpa !… Mea Culpa !

Il y est question de « jetabilité ». Dans nos sociétés tout est jetable du produit fabriqué à l’homme lui-même. Le gadget, le vêtement, l’employé, l’ouvrier, l’épouse, l’enfant lui-même sont jetés lorsqu’ils ne « conviennent » plus ! Exemple ( horrible ! ) = l’histoire d’Artem ce petit garçon de huit ans qu’une riche américaine a abandonné dans un avion après l’avoir adopté et avoir finalement trouvé qu’il ne lui « convenait » pas !!!

Question aussi de notre « prolétarisation généralisée » Nous travaillons à tous les niveaux et dans toutes les fonctions comme des ouvriers à la chaîne. Appuyant mécaniquement sur le bouton sans savoir de ni le pourquoi ni le comment. Alan Greenspan, patron de la FED n’a-t-il pas avoué à la suite de la crise financière, ne pas savoir comment fonctionnait le « système » !!!No comment !!!

Comment dès lors s’étonner de notre « désenchantement ?   Angoisse…Sentiment d’impuissance…Sentiment de ne pas exister…Sentiment que la vie ne vaut pas ma peine d’être vécue.. ! L’analyse interpelle…

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